Malaise de qualité.
Tiens, déjà faisons litière de la rumeur, de l’anecdote, selon laquelle Ventura
aurait eu un malaise lors de la scène finale : le bon supplément du DVD relate qu’il est bien exact que les passants de Barcelone, devant le corps étendu, ont marqué la même indifférence que la plupart de ceux qui passent aux côtés d’un clochard ivre-mort. Simplement, comme la scène était filmée au téléobjectif, et qu’il ignorait si Deray
en était satisfait, l’acteur demeurait allongé dans l’attente du clap. Et ce sont des assistants, est-il indiqué, qui sont venus lui dire qu’il pouvait se relever). (suite…)

), mais qu’est-ce que c’est ennuyeux…
Mémoires d’une jeune fille dérangée.
que je regardais, la tronche de camisard mal dégrossi du bonhomme m’ayant toujours souverainement agacé. 
, les points de vue qui se confortent et s’enrichissent mutuellement, conviennent de la grande qualité du film…
ne soit édité que chez René Château. Il y a désormais une édition Pathé, qui doit être bien meilleure… mais que je ne testerai pas… Autant l’emplette de la meilleure version du DVD m’avait paru justifiée pour
, autant elle ne s’impose tout simplement pas en l’espèce, parce que, à la revoyure, le film de
si intéressant qu’il est, n’atteint pas le niveau supérieur. Je resterai donc avec mon DVD initial, ce qui me paraît bien suffisant. 
vus il y a longtemps, qui me semblaient incomparablement plus drôles que les pitreries muettes des
,
ou
, qui, dès que j’ai dépassé ma huitième année, ne m’ont pas arraché un sourire. Au moins, chez les trois (ou quatre) frères, il y avait des dialogues, dont je me souvenais que plusieurs morceaux de bravoure m’avaient paru délicieux. 
s’achète pour une bouchée de pain et je me suis laissé faire paresseusement.
est celui de la désillusion, du désenchantement devant la Révolution qu’on n’a pas faite, et peut-être, de plus en plus, et au fur et à mesure que le temps passe, devant l’impossibilité de la Révolution. Tout cela avec une intense nostalgie (il ne faut d’ailleurs pas s’étonner qu’il ait apporté, lors de la dernière présidentielle, son soutien au farfelu et irrésistible M. Mélanchon). 
dans l’histoire qu’on ne revient sur la qualité de la Joconde ou de la 5ème symphonie. C’est marmoréen, irréversible, irréfragable.
. Un peu comme les gerbes de fleurs et les couronnes mortuaires qui, lors des enterrements de personnalités révérées, finissent par dissimuler le cercueil.
est une impeccable démonstration de l’inutilité de la lutte des pouvoirs publics contre la drogue… je n’hésiterai pas à écrire de la nocivité de cette lutte. 
, qui passe assez souvent à la télévision les mois d’été,
est l’unique film de