
La décrépitude et la mort
C’est une grande maison, toute bruissante de cris d’enfants. Il y a tout ce dont on rêve : des vélos, plein de vélos, de tout âge et de toute nature – et toujours une chaîne ou un câble de frein à réparer dans d’austères délices de bricolage -, une table de ping-pong propice à d’homériques tournois en simple, double et double mixte, des chaises longues qu’on ne sait pas ouvrir (ni fermer, d’ailleurs) sans se coincer un doigt. (suite…)
Pataud, coincé, ennuyeux.
, que chacun paraît porter au pinacle, a guidé mon choix, hier soir, de glisser le DVD dans mon lecteur ! Je le promets et le proclame.
Un regard tendre, et si précis…

en 1897, collectant, juxtaposant et synthétisant les écrits de plusieurs auteurs qui l’avaient précédé (
,
,
,
), quand ces codes sont stabilisés dans l’inconscient collectif des amateurs, il est bien ardu de les bousculer et, naturellement, plus encore, de les moderniser.
Stupéfiant !
, j’ai acquis pour quelques maravédis le DVD de l’éminente contribution de Mme
(dont j’écoute régulièrement l’hilarant Courrier du cœur – qui s’appelle Lahaie, l’amour et vous, sur RMC Info) au cinéma d’un genre qui n’est pas celui qui l’a fait connaître. 
Et de deux !
commence exactement là où s’achève
. On est au lendemain de la fête de saint-Antoine et les deux couples d’amoureux sont réunis : le Maréchal des logis-chef Antonio Carotenuto (
et la sage-femme fille-mère Annarella (
).
Gabin gandin !
, 20 films pour une légende, de Jean De Luca) m’incite à réclamer à cor et à cris l’édition de ce premier film tourné par le plus grand acteur français de tous les temps !