
À coté de la cible
René Clément
, qui ne fut jamais enrégimenté dans la Qualité française ni dans la Nouvelle vague, a beaucoup tourné sur la dernière Guerre, commençant une carrière de réalisateur atypique par l’excellent Père tranquille
, la poursuivant dans la lyrique Bataille du rail
, abordant, avec Les maudits le sort des vaincus, rencontrant son plus grand succès critique avec Jeux interdits
, concluant la série avec un Paris brûle-t-il ?
à grand spectacle. (suite…)

et
! 
,
est de ces films qui, sans être bons, demeurent durablement dans nos mémoires et dans nos envies (de voir et de revoir), grâce à des scènes éparses ici et là, grâce à des rôles miraculeusement distribués, qui vont étroitement coller à un acteur, à en mythifier davantage encore le jeu… 


et s’interroge encore sur les motivations obscures qui ont pu pousser son réalisateur favori sur ces chemins-là, même si de subtils commentaires peuvent quelque peu éclairer une démarche inaccoutumée. 
. 
moins bon que je ne me le rappelais, en net retrait en tout cas par rapport aux autres protagonistes), mais surtout la transposition historique m’a gêné.
L’Allemagne enragée.

,
et tous les films à effets spéciaux éblouissants et à histoires compliquées (et tout à la fois naïves), mais tout de même, le cinéma de
, c’est autre chose…