Affaires étrangères.
On imagine que les producteurs, toujours friands de recettes faciles (aux deux sens de ces termes et après tout ils sont là pour ça !), que les producteurs, donc, se sont dit que mettre en face à face deux grandes vedettes, française et italienne, était une bonne idée. Après les immenses succès des trois premiers Don Camillo (1951,53 et 55), il devait être tentant, en effet, de reconstituer un duo presque exotique de cette sorte. Fernandel, évidemment, gage de succès assuré de ce côté des Alpes et Toto,moins connu ici, mais très populaire là. C’est sans doute la base, l’idée initiale. (suite…)