On appelle entropie, en physique, ce qui touche à la dégradation de l’énergie. Aucun domaine n’y échappe, moins encore le cinéma.
Après trois opus plus réussis les uns que les autres, la série des James Bond (la seule, l’exclusive, celle avec Sean Connery) ne pouvait qu’aller vers sa caricature : de plus en plus de stéréotypes, de plus en plus de codes, de plus en plus de gadgets, une surenchère dans l’exhibition des cruautés des méchants et des charmes des girls. (suite…)