Violents rivages.
Expérience amusante et un peu étrange de regarder un film documentaire consacré à un écrivain dont vous n’avez pas lu une ligne et qui ne vous est connu que pour avoir inspiré Le dahlia noir de Brian De Palma qui est un film d’une nullité sans nom. La note que mets, qui est médiane, n’a aucune espèce d’importance et moins encore de pertinence : elle permet simplement de voir que je ne me suis pas ennuyé et que j’ai trouvé que c’était plutôt bien fichu. Clara et Robert Kuperberg, d’après ce que j’ai appris sur eux, sont un couple de documentaristes de qualité, auteurs de films sur les cinéastes blacklistés, George Sidney ou Martin Scorsese ; leur truc sur Ellroy prédispose plutôt bien à leur endroit. (suite…)