
Coup de foudre, affiche
Aux deux colombes.
Voilà le genre de films dont on ne se souvient pas dix minutes après l’avoir regardé, tant c’est inconsistant et fuligineux. Et comme ma vision date de presque une semaine, ça n’a rien arrangé ; ah, non, ce n’est pas un des films dont les images vous reviennent, vous sourient ou vous angoissent, vous émeuvent ou vous glacent plusieurs années après que vous les avez découvertes. Je sais qu’il s’agit d’une relation romancée de la vie pendant et après la dernière guerre de la mère de Diane Kurys, juive, et de son amitié singulière avec une autre jeune femme, mais une fois que j’ai dit ça, je demeure un peu coi. (suite…)