La saveur du pot-au-feu.
Tombant à peu près par hasard sur ce film inconnu de l’assez peu notoire Maurice Labro, je me disais qu’il était bien extraordinaire qu’Yves Deniaud, figure seconde ou même troisième du cinéma du samedi soir des années 50 fût placé en vedette d’un spectacle. Il est vrai que le reste de la distribution ne comptait pas d’acteurs bien notoires, à l’exception minime de la rondeur institutionnelle (et toujours excellente) de Jane Marken, de Michel Roux, qui a rapidement compris que son avenir était davantage dans le théâtre de boulevard et dans le doublage, et des silhouettes stakhanovistes de Paul Demange et de Marcel Charvey et de Gabriello. Et de quelques autres sans beaucoup d’importance. (suite…)