La peur qui fait le trottoir.
Je ne suis pas grand connaisseur (ni grand amateur, il faut dire) de ces histoires de tueurs psychotiques, issus souvent d’enfances traumatisées, qui collectionnent les assassinats perpétrés sur un mode analogue. On appelle, je crois, ce genre le slasher et il est richement représenté dans les modes adolescentes, chaque personnage créé suscitant, à l’aune de son succès, des séquelles à n’en plus finir, jusqu’à 7 ou 8, puis des remakes, généralement plus gore que les originaux. (suite…)