La petite bête qui monte.
Je ne sais pourquoi je suis tombé un jour sur l’avis convaincant d’un ami appréciant Phase IV qui en avait été particulièrement impressionné. Il est vrai que, regardant avec plaisir les films un peu torves, j’avais là ce qui semblait être une orientation originale. Et même la hideur ridicule de l’affiche m’inclinait à la curiosité. D’autant que le réalisateur, Saul Bass avait, quelques années auparavant, révolutionné l’art de l’affiche et celui du générique. Allez comprendre ! (suite…)